lundi 29 octobre 2012

Guérir par la psychogénéalogie





La psychogénéalogie est une approche relativement récente, développée dans les années 1970 par Anne Ancelin Schützenberger. Elle s’est fondée sur ses propres observations et sur des concepts issus de la psychanalyse et de la systémie.

C’est aussi l’auteure connue pour son livre « Aïe, mes aïeux ! ».
La psychogénéalogie part du principe que chaque individu est  le maillon d’une longue chaîne. Nous avons un héritage génétique mais aussi psychologique qui s’exprime à travers l’histoire de notre famille.
La transmission psychique est parfois consciente mais le plus souvent inconsciente.
Selon la théorie de la psychogénéalogie, les événements, traumatismes, secrets, conflits vécus par les ascendants d’un sujet peuvent conditionner des troubles psychologiques, des maladies et des comportements symptomatiques.
Le travail permet de comprendre les liens subtils entre les générations, de comprendre la motivation profonde des choix, de déprogrammer les répétitions…
La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle sont des approches, parmi d’autres, dans le champ des psychothérapies qui peuvent  initier un travail personnel ou s’intégrer dans un parcours thérapeutique déjà engagé.

Pourquoi la psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle?

Il permet de trouver et occuper sa place pleinement : Psychiquement et physiquement, en accord avec sa propre identité.
Le travail avec l’arbre généalogique replace chaque personnage dans sa vie.
Il délivre des secrets de famille, du poids des non-dits, des programmations limitantes,  des sentiments d’abandon, des deuils non faits, des échecs répétitifs, des conflits en famille ou au travail,  du manque de dialogue parents-enfants, des peurs inexplicables, des blocages,  des difficultés à former un couple, des croyances limitantes, du poids des maladies …

La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle permettent de « guérir son arbre » pour :
- Identifier sa place et être en paix avec soi-même.
- Comprendre et utiliser son potentiel à la lumière de son héritage afin d’être capable de réaliser ses projets.
- Prendre des décisions justes et agir en toute liberté en utilisant le processus de changement au lieu de le subir.
- Percevoir les relations avec ses descendants beaucoup plus fluides, libres.
La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle a pour premier objectif de nous faire prendre conscience de nos mécanismes familiaux, de cette famille qui nous habite.
Au plus profond de nous, vivent non seulement nos parents, mais aussi leurs propres parents, nos grands-parents, voire nos arrières grands-parents. Au cœur de nous vivent aussi nos frères et sœurs, nos cousins et cousines, les oncles, les tantes.
En nous, vivent aussi des amis de la famille, des adultes que nous avons aimés ou détestés pendant notre enfance, (instituteur ou professeur, médecin, religieux, etc.), des enfants, des adolescents qui étaient nos amis intimes ou nos camarades.
Même si nous ne connaissons pas tous les personnages de notre arbre généalogique, leur trace subsiste en nous à travers des secrets, des non-dits, des allusions transmis par nos parents.
La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle a pour deuxième objectif de nous aider à nous libérer des emprises familiales qui nous empêchent de vivre selon notre désir.
Les personnes viennent souvent parce qu’à un moment donné, elles se posent des questions, ont une sensation de malaise qui semble les dépasser. Elles ne comprennent pas d’où cela peut venir dans leur vie où apparemment, tout va pourtant bien. Elles sentent qu’il y a quelque chose à creuser derrière tout ça.
C’est une sorte de loyauté inconsciente qui nous pousse à répéter, que nous le voulions ou pas, que nous le sachions ou pas, des situations agréables ou des évènements douloureux.
Nos parents eux-mêmes nous élèvent en fonction de la relation qu’ils ont eue avec leurs propres parents et leur fratrie. Même si nous ne les avons pas connus, nos grands-parents également sont fondamentaux pour comprendre notre histoire. Ils sont aussi source d’identifications lorsqu’ils ont été présents dans notre vie.
Dès notre conception nous sommes l’objet de projections de la part de notre famille. Nous sommes désirés ou non, attendus en tant que fils ou fille, fantasmés, rêvés quant à notre physique, notre caractère, nos aptitudes. Nous sommes d’abord un enfant imaginaire.
Nous recevons des étiquettes dès notre naissance, nous vivons des identifications à un père, une mère, un aïeul pendant notre enfance et adolescence.
A notre naissance nous recevons prénom(s) et nom. En grandissant nous sommes définis, étiquetés selon certaines caractéristiques corporelles, sexuelles, affectives, intellectuelles, artistiques, en fonction des membres de notre arbre généalogique, par comparaison également avec nos éventuels frères et sœurs.
Le but de la psychogénéalogie et de l’analyse transgénérationnelle est d’aider le patient à en prendre conscience pour se dégager de ce qu’il porte parfois comme un fardeau, afin d’être en paix avec soi-même pour mieux être, pour mieux agir, pour mieux aimer les autres et la vie.

En séance

La personne réalise le dessin de son arbre généalogique, dit génosociogramme, tracé librement, à partir d’éléments simples tels que les dates de naissance, de décès, de mariage, de divorce, le choix des prénoms, les lieux de vie, les métiers.
Le génosociogramme est l’outil principal, en psychogénéalogie qui permet de mettre en évidence les évènements répétitifs: les accidents, les maladies, les conflits relationnels, les deuils non résolus, les non-dits, les différences culturelles, sociales, les syndromes de double anniversaire, les loyautés invisibles, les mythes familiaux, sources d’obstacles à la réalisation personnelle.
Le génosociogramme a un impact visuel important. Il met en perspective une vision du groupe familial dans son ensemble.
Ce travail permettra de se libérer des nœuds émotionnels, des difficultés rencontrées au cours de l’existence, de l’héritage des aïeux; et permettra également de redistribuer les places de chacun dans l’ordre des générations, donc au sujet de retrouver sa place.
Ce qui se cache derrière, les personnages, les situations, les relations, les non-dits, sera soulevé par le thérapeute.
Au fil des séances, la personne va mobiliser sa propre mémoire mais aussi celle des membres de la famille, de façon très naturelle.
Elle interroge d’abord ses parents et ses grands parents s’ils sont encore vivants mais aussi des cousins, des parents plus éloignés qui possèdent aussi leur vision de cette histoire familiale; toute cette recherche aura pour effet de retisser les liens, souvent aussi d’en créer des nouveaux.

Ce travail vous aide à mieux comprendre l’origine de vos conflits et à réinvestir sa place positivement.
Vous choisirez alors plus librement vos propres chemins d’autonomie et de développement.

L’arbre porte une symbolique très forte:
Il est le lien entre le ciel et la terre. De part ses racines jusqu’à ses branches, il porte les liens entre nos origines et notre devenir.
Il est aussi le symbole de longévité.
Il pose la question de la transmission, ce que nous construisons et ce que nous transmettons à nos descendants.
Un arbre, n’a-t-il pas besoin de ses racines pour avoir un beau feuillage?
Source : http://sophrologues.org/sylvainemorey/psychogenealogie/

La face cachée de l'homosexualité


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En 1978, l’Institut Kinsey publia sur le sujet une étude effectuée par Bell et Weinberg, la plus ambitieuse jamais entreprise sur l’homosexualité. Cette étude révéla que 28% des homosexuels mâles avaient eu des relations sexuelles avec au moins un millier de partenaires chacun. En outre, 79% des répondants avaient précisé que plus de la moitié de leurs partenaires sexuels étaient des étrangers. Selon cette enquête, seulement 1% des hommes sexuellement actifs avaient eu moins de cinq partenaires2. Les auteurs de l’étude affirmaient: « On doit accorder peu de crédibilité à la supposition que la “promiscuité” des personnes homosexuelles mâles ait été surestimée3. » « Presque la moitié des hommes homosexuels de race blanche… ont dit avoir eu au moins 500 partenaires sexuels différents durant leur carrière homosexuelle.4 » Comme l’étude se basait sur un échantillonnage de commodité, non représentatif de la population états-unienne, on ne peut certifier être en face d’un portrait fidèle de la situation dans ce pays (d’autant plus que l’épidémie de sida qui a suivi, dans les années 1980 et 1990, l’a indéniablement modifiée), mais l’étude de Bell et Weinberg témoigne du pourcentage élevé des comportements sexuels anonymes qui prévalent chez un groupe d’individus, ainsi que la mesure de l’instabilité observée dans les unions homosexuelles.
Un tel taux de changement de partenaires sexuels et une telle témérité dans leur sélection sont des causes directes du déclin de la longévité chez les hommes homosexuels, de leur exposition à un grand nombre d’infections incurables, de leur recours plus fréquent à des soins médicaux, de leur vulnérabilité à la dépression et de leur grande difficulté à demeurer fidèles à un seul partenaire sexuel.
En 2002 et 2007, selon des statistiques récoltées par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) dans l’État américain de l’Arkansas, le VIH/SIDA affectait 36 hommes hétérosexuels sur 100 000, alors qu’il touchait 6 600 hommes homosexuels sur 100 000. Les hommes homosexuels actifs étaient donc exposés à un risque 183 fois plus élevé de contracter le VIH/SIDA que les hommes ayant des pratiques hétérosexuelles5, et cinquante fois plus sujets à contracter le SIDA que la population hétérosexuelle en général aux États-Unis6.
Selon le Portail VIH/SIDA du Québec, 51% des 17 920 personnes infectées du VIH dans la Belle Province l’auraient été par contact homosexuel entre hommes. En comparaison, c’est presque deux fois plus que les transmissions par contact hétérosexuel (source: Journal de Montréal, 20 février 2012, page 25).
 
Selon le HIV/AIDS Surveillance Report (Atlanta, GA : Center for Disease Control and Prevention) publié en 1993, sur la population en général, 80% de ceux qui étaient touchés par les ITS (les infections transmises sexuellement) les plus sérieuses en Amérique sont des personnes homosexuelles7.
En 1984, l’étude The Male Couple, effectuée par McWhirter et Matison (un couple homosexuel formé d’un psychiatre et d’un psychologue) dans le but de contredire la réputation d’instabilité des unions homosexuelles, conclut : sur les 156 couples mâles observés, dont les deux tiers avaient déclaré leur intention ferme de demeurer fidèles, seulement sept furent en mesure de tenir parole. Et de ces sept couples, aucun ne dura plus de cinq ans8!
Les chiffres de Bell et Weinberg confirmaient déjà la chose, révélant que seulement 14% des hommes gais (et seulement 40% des personnes lesbiennes) ont des relations monogames9.
Dans une étude récente sur les pratiques sexuelles dangereuses inhérentes à l’homosexualité, le docteur John R. Diggs10 rapportait que les hommes homosexuels contractent la syphilis à un taux de trois à quatre fois plus élevé que les hommes hétérosexuels. Il fut également démontré que les rapports anaux (la sodomie) exposent les hommes homosexuels à des taux élevés de cancer de l’anus, en plus d’être une cause d’hémorroïdes, de fissures anales, de traumatismes dans la région rectale et de rétention de corps étrangers. De plus, les personnes homosexuelles qui s’engagent dans un contact oral-à-anal ont un plus haut taux de parasites et autres infections intestinales. Une enquête de CDC datant de 1988 a révélé que les hommes homosexuels comptaient pour 21% de tous les cas d’hépatite B, alors qu’ils ne forment que 2% de la population11.
En 1997, The International Journal of Epidemiology publia les taux de mortalité des personnes gaies et bisexuelles au Canada. Le rapport fut piloté par le British Columbia Center for Excellence in HIV/AIDS de l’hôpital St. Paul de Vancouver. Les auteurs de cette enquête conclurent : « Au Canada, dans un centre urbain majeur, l’espérance de vie d’un jeune homme de 20 ans, homosexuel ou bisexuel, est de huit à vingt ans de moins que celle des autres hommes. Si la tendance se maintient, nous estimons que près de la moitié des jeunes hommes homosexuels ou bisexuels, actuellement âgés de 20 ans, n’atteindront jamais leur 65e anniversaire de naissance12
Selon d’autres données, citées en janvier 2001 par le docteur Jeffrey Satinover, 30% de tous les hommes homosexuels âgés de 20 ans seront décédés ou infectés par le VIH avant d’atteindre l’âge de 30 ans13.
Lesbianisme
Les femmes lesbiennes sexuellement actives ne sont pas plus épargnées, devant recourir, elles aussi, plus fréquemment à des soins de santé, et, en plus, s’exposant à des risques élevés de perte de fécondité. Ces conséquences sont directement liées à leur tendance sexuelle.
Jeanne Marrazzo, de l’école de médecine de l’Université de Washington, a énuméré récemment un certain nombre d’infections transmises par les pratiques sexuelles entre femmes, principalement à cause de sécrétions vaginales infectées : virus du papillome humain (HPV), lésions intra-épithéliales (SIL), infections vaginales bactériennes (BV) et autres infections plus communes comme le VIH et l’hépatite B. Certaines des études qu’elle examina concluaient que les « infections vaginales bactériennes (BV), une condition associée à une inflammation au niveau pelvien dont les conséquences sont défavorables à une grossesse, frappe de 24% à 51% des lesbiennes qui ont des relations sexuelles14».
Dans un article sur les conséquences médicales de l’homosexualité active, l’infirmière Kathleen Melonakos précisait : « Même en cherchant bien dans mes souvenirs, je ne connais pas d’autres groupes d’individus aux États-Unis qui meurent dans la mi-trentaine de maladies infectieuses, à part les personnes homosexuelles actives15.» À l’emploi du Centre médical de l’Université de Stanford durant les années 1980 et 1990, elle a vu les dommages que les personnes homosexuelles infligent à leur corps à l’occasion de certaines de leurs pratiques. Elle en est arrivée à conclure que l’homosexualité active ne correspond pas à un comportement « santé » et ne devrait pas être encouragée16.
Dans son article, elle établit la liste des maladies que les personnes homosexuelles actives sont plus à risque d’attraper ou de développer :
  • les infections classiques transmises sexuellement (la gonorrhée, la chlamydia, la syphilis, l’herpès, la gale, les morpions);
  • les maladies de l’intestin (infections Shigella, Campylobacter jejuni, Entamoeba histolytica, Giardia lamblia, l’hépatite A,B,C,D et le cytomégalovirus);
  • les traumatismes anaux (ceux reliés et/ou résultant de l’incontinence fécale, les hémorroïdes, les fissures anales, la rétention de corps étrangers dans le rectum, les déchirures recto-sigmoïdes, les allergies ano-rectales
  •  les œdèmes péniens, les sinusites chimiques et les brûlures par inhalation de nitrites;
  • le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA).
Le rectum utilisé comme organe sexuel
Dans une entrevue qu’elle nous a accordée en 2005, une infirmière du département de chirurgie et d’urgence de l’hôpital Saint-Luc de Montréal a levé le voile sur les pratiques liées aux pénétrations anales entre hommes. (L’hôpital Saint-Luc a ceci de particulier qu’il est situé à l’extrémité ouest du village gai de Montréal. Les personnes homosexuelles fréquentant ou habitant le village et ayant besoin de soins médicaux d’urgence ont donc de bonnes raisons de s’y retrouver majoritairement.)
La clientèle homosexuelle la plus exposée aux blessures est formée d’individus qui ont des problèmes psychiatriques ou qui ont consommé de la drogue. En effet, beaucoup de ceux qui fréquentent les saunas du centre-ville se droguent avant d’y aller. Il est fréquent que les personnes qui vont dans des after hours pendant douze heures consécutives consomment de l’ecstasy pour tenir le coup et pour ensuite être capables d’assumer une relation homosexuelle publique douloureuse.
Lorsqu’elles s’apprêtent à vivre une nuit fauve, plusieurs personnes homosexuelles se préparent. Pour éviter des blessures au rectum, elles se font des lavements17 pour évacuer leur ampoule rectale, puis elles absorbent des médicaments vasodilatateurs, c’est-à-dire des pilules qui dilatent leur anus. Souvent, elles consomment aussi un produit ou des drogues – des anti-inflammatoires – pour ne pas sentir les premières pénétrations. Graduellement, leur anus devient tellement dilaté qu’elles ne ressentent plus de douleur.
Ces pratiques causent régulièrement des abcès anaux18 ou des problèmes de fistules anales19. La pénétration anale a également comme conséquence d’abîmer le sphincter. L’anus est en vérité un orifice de sortie. Cet orifice n’a physiologiquement aucune fonction d’entrée (à l’exception de l’introduction de suppositoires, ce qui constitue une application médicale, donc artificielle plutôt que naturelle). L’utilisation de l’anus comme orifice d’entrée conduit donc à des conséquences néfastes. La cessation de la fonction du sphincter est l’aboutissement normal de 30 à 35 ans de pratiques de relations anales. Les vieux hommes homosexuels actifs ont pratiquement tous l’anus dilaté. Ils sont alors obligés, matin et soir, de se faire des lavements pour ne pas être en permanence en incontinence anale.
Les personnes homosexuelles intoxiquées se causent également des blessures en tentant d’introduire dans leur rectum des objets hétéroclites : des poignées de porte, des boules de billard, des ampoules électriques, des vibrateurs doubles20, des bouteilles, etc. L’anus est un sphincter : c’est un muscle qui a la capacité de se refermer et de s’ouvrir. Pour cette raison, les objets qu’on tente d’y introduire restent coincés parce que le sphincter anal se referme tout de suite après. Il y a ensuite un phénomène de succion qui aspire l’objet à l’intérieur du corps. Ainsi, la personne n’arrive plus à le saisir pour le faire sortir. Si un vibrateur ou une boule de billard entre dans le rectum et n’en sort plus, une opération sera nécessaire pour l’en retirer. On fait une incision au niveau des intestins, puis on récupère l’objet.  Pour arriver à extraire les poignées de porte et les bouteilles, on installe des spéculums21 dans le rectum du patient.
Ces considérations confirment ce que le bon sens devinait déjà : contrairement à la relation sexuelle entre un homme et une femme, qui est nécessaire si l’on veut concevoir un enfant, la sodomie peut bien amuser ses participants, mais elle n’apporte rien en retour à la société. Bien au contraire, la sodomie engendre des coûts sociaux importants, entre autres des coûts de soins de santé élevés, puisqu’elle est loin d’être une pratique marginale dans la communauté gaie.
  • Selon une étude britannique, la majorité des hommes homosexuels (60%) pratique la sodomie. Cette pratique se déroule fréquemment sans l’utilisation de condom et malgré le fait que les participants se savent porteurs du VIH. En conséquence, un nombre élevé de maladies est associé aux relations anales, dont plusieurs sont rares ou même inexistantes dans la population hétérosexuelle22.
  • Il y a une augmentation significative du risque de contracter le VIH lorsque l’on s’engage dans des relations anales. Les jeunes hommes homosexuels âgés de 15 à 22 ans qui ont déjà eu des relations anales présentent un risque cinq fois plus grand de contracter le VIH que ceux qui n’ont jamais eu de telles relations23.
  • Une étude parue dans l’édition de février 2007 du International Journal of STD & AIDS rapporte que les hommes homosexuels actifs porteurs du VIH présentent un risque 90 fois plus élevé de développer un cancer de l’anus que la population en général24.
  • Une étude menée à Montréal (Canada) en 2005 a démontré qu’un homme gai (ou bisexuel) sur huit était séropositif et que, de ce nombre, un sur cinq ne savait pas qu’il était infecté25.
Malgré cela, aucune campagne gouvernementale ne cherche à sensibiliser la population en général – et plus particulièrement la population à tendance homosexuelle – sur les conséquences dangereuses de cette pratique. Au contraire, au Québec en décembre 2008, une publicité gouvernementale invitait la population à concevoir comme normale les relations sexuelles entre homme…
Certains faits sont curieux :
  • Il y a environ une décennie, on a contraint les studios d’Hollywood à cesser d’offrir systématiquement, comme modèles aux enfants, des héros qui fument au grand écran, ayant constaté la contamination que cela entraînait chez ces enfants devenus adolescents.
  • Depuis quelques années, on a retiré les boissons gazeuses des machines distributrices de toutes les écoles primaires du Canada, après qu’une étude menée par le docteur Perry Kendall eut révélé que, depuis qu’elles y étaient présentes, la prévalence de l’obésité chez les jeunes garçons avait triplé, entre 1981 et 1996.
  • Il y a quelques années, le ministère de la Santé du Québec a dû débourser une fortune afin de retracer et tester 2614 patients opérés par une chirurgienne de l’hôpital Sainte-Justine dont on avait découvert, après sa mort, qu’elle était infectée par le VIH26.
  • En 2008, le gouvernement du Québec a rendu obligatoire l’installation de pneus d’hiver, dès la mi-décembre, afin de réduire les accidents de la route causés par la moins bonne adhérence des pneus quatre-saisons.
  • En 2007, la coroner Andrée Kronstrom a recommandé de rendre les cours de natation obligatoires pour les élèves du primaire et du secondaire, à la suite du décès par noyade de 136 personnes, entre 2001 et 2005, au Québec27.
Malgré cela, les organisations responsables de la santé publique et de l’éducation sexuelle de nos jeunes continuent à présenter les relations anales comme inoffensives et normales, affirmant que cette pratique est aussi naturelle que le coït, à condition d’utiliser un condom (comme si le port du condom modifiait la manière de fonctionner de l’anus et du rectum, comme si le latex avait le pouvoir de faire disparaître le caractère intrusif et agressif de l’activité que l’on impose à ces organes…)28.
On peut donner raison au docteur Miriam Grossman, auteur du livre Unprotected, lorsqu’elle écrit :
Les centres de santé des collèges font un bon travail pour éduquer les étudiants sur toutes sortes de questions de santé. Ces professionnels s’attendent à ce que, une fois l’information pertinente donnée, les étudiants fassent des choix éclairés. Ils leur recommandent: «Mangez une salade au lieu d’une pizza.» Ils présument que les jeunes sont capables de discipline personnelle – ils ne s’attendent à rien de moins de leur part. Il n’y a qu’une seule exception à la règle : leur santé sexuelle29.
Le risque d’infection au VIH : le dernier-né des stimulants sexuels
Parmi les nouvelles problématiques, on trouve le barebacking : des orgies organisées de pénétrations anales entre plusieurs personnes homosexuelles avec comme seule règle à suivre de ne pas porter de condom (le barebacking apparaît comme le jeu de roulette russe nouveau genre dans la communauté gaie). On ignore donc qui est infecté du VIH/SIDA et qui ne l’est pas, et c’est ce mystère qui est supposé décupler le plaisir sexuel ressenti.
Dans une étude portant sur les hommes homosexuels infectés par le VIH, la majorité des participants (84%) ont affirmé avoir participé à des relations de type barebacking au cours des trois derniers mois, et 43% des hommes ont indiqué avoir pratiqué le barebacking avec un partenaire n’étant probablement pas infecté, mettant ainsi la santé d’un autre homme en danger30.
L’analyse de ces données nous révèle que, si plusieurs personnes homosexuelles actives aboutissent à l’urgence de l’hôpital Saint-Luc, c’est à cause des blessures qu’elles se sont infligées à la suite de gestes faits volontairement, des gestes associés à leur tendance sexuelle, et non pas parce que des personnes homophobes s’en sont prises à elles. Ces actes sont physiquement nuisibles non pas parce que leurs auteurs s’y prennent mal, mais parce qu’ils ne tiennent pas compte des fonctions et de l’anatomie humaine normale. Ces actes sont donc associés à des risques élevés de dommages aux tissus, de mauvais fonctionnement organique et de maladies infectieuses, ce qui, ultimement, abrège significativement l’espérance de vie des personnes homosexuelles actives.
Ne pas réduire la personne à son homosexualité
Ces données sont préoccupantes. Elles mettent au jour des difficultés humaines qui, loin d’être la conséquence d’une hypothétique homophobie ambiante, découlent spécifiquement d’une manière d’élaborer son identité sexuelle en refusant de considérer les limites de son corps, donc certains interdits du réel. C’est la face cachée de l’homosexualité, celle que le filtre de la rectitude politique laisse rarement transparaître à la télévision, au cinéma, dans les magazines artistiques et dans les sites Web des organisations faisant la promotion de cette condition. Bien que ces données puissent contribuer à assombrir l’image que l’on se fait des personnes homosexuelles actives, il ne faut surtout pas croire que ces personnes n’apportent rien de bon ou de positif à la société. La personne, sa condition, ses intentions et ses actes sont quatre dimensions qu’il faut constamment distinguer et mettre en perspective.
Complémentarité et imperfection
Mettre en pratique les gestes extrêmes31 associés à la tendance homosexuelle n’est donc en rien comparable au fait d’être gaucher plutôt que droitier, végétarien plutôt que carnivore, de préférer le caramel au chocolat ou d’être francophone plutôt qu’anglophone : des caractéristiques qui, loin de s’opposer, sont plutôt complémentaires. Cette représentation de soi devient associée à :
  • une tendance à la multiplication des partenaires;
  • une difficulté à rester fidèle;
  • un plus haut taux de parasites et d’autres infections intestinales (dans le cas de pratiques qui incluent un contact oral-à-anal);
  • la transmission d’infections vaginales bactériennes chez 24% à 51% des lesbiennes;
  • trois à quatre fois plus de risque de contracter la syphilis;
  • huit à vingt ans d’espérance de vie en moins;
  • dix fois plus de risque de contracter l’hépatite B;
  • 40 fois plus de risque d’être infecté par le VIH;
  • et 50 fois plus de risque de contracter le SIDA.
À cela, on peut encore ajouter la plus récente étude sur le sujet publiée par le département de la santé publique du Massachusetts. Selon cette étude, les personnes ayant des attraits pour le même sexe sont 2,5 fois plus portées à fumer, 3,1 fois plus  portées à se sentir tendues ou inquiètes, les femmes lesbiennes sont 2,2 fois plus enclines à souffrir d’obésité, enfin les personnes bisexuelles sont 4,4 fois (les personnes homosexuelles 1,5 fois) plus enclines à décrire leur santé comme « mauvaise » ou « ordinaire » que les personnes hétérosexuelles.
Il n’y a pas lieu de mettre ces résultats sur le dos de l’homophobie ambiante depuis que des études semblables, menées dans des pays « homophiles » comme les Pays-Bas, la Norvège, le Danemark et la Nouvelle-Zélande, ont récolté des résultats similaires32. Nous reviendrons d’ailleurs sur ce point à la question 14.
Il ne s’agit pas d’une simple opinion, d’un jugement gratuit, d’un commentaire motivé par de l’homophobie, de la biphobie, de la lesbophobie ou de la transphobie, mais bien d’une interprétation rigoureuse des données scientifiques au sujet des conséquences des actes homosexuels.
N.B. Données tirées d’études scientifiques, répertoriées dans l’ouvrage L’homosexualité: les mythes et les faits disponible dans notre section BOUTIQUE
  1. Aux États-Unis, seulement 5,2 % des couples gais élèvent un ou des enfants, alors que cette proportion augmente à 21,7 % chez les couples de lesbiennes, selon les données du National Health and Social Life Survey (NHSLS).  Selon Demography (vol. 37, no 2, mai 2000, p. 139-154), l’étude du NHSLS réunit de loin les informations les plus extensives sur les pratiques sexuelles et les partenaires sexuels aux États-Unis. []
  2. Alan P. Bell et Martin S. Weinberg, Homosexualities : A Study of Diversity among Men and Women, New York, Simon & Schuster, 1978, p. 308-309. []
  3. Alan P. Bell et Martin S. Weinberg, op. cit., p. 82. []
  4. Alan P. Bell et Martin S. Weinberg, op. cit., p. 85. []
  5. Center for Disease Control and Prevention (CDC), HIV/AIDS surveillance report 2002, vol. 14, table 11, p. 16. []
  6. Voir à ce sujet : www.lifesitenews.com/ldn/2009/aug/09082609.html, article basé sur : www.cdc.gov/hiv/topics/surveillance/resources/reports/2007report/default.htm. []
  7. Idem, p. 13 []
  8. D. McWhirter  et A. Mattison, The Male Couple: How Relationship Develops, Englewood Cliffs, NJ, Prentice-Hall, 1984. []
  9. Ibid., p. 308. []
  10. John Diggs, Jr., « The Health Risks Of Gay Sex, » Corporate Resource Council publication, disponible sur le site Internet de NARTH (www.narth.com). []
  11. Certaines cliniques médicales spécialisées dans le traitement des personnes homosexuelles soutiennent qu’il est désormais démontré que celles qui ont de multiples partenaires ont un risque de 10 à 15 fois plus élevé de contracter l’hépatite B que la population en général (voir www.cliniquelactuel.com/home/page/gias_lesbiennes.html). []
  12. R. S. Hogg,  et al., «Modeling the impact of HIV disease on mortality in gay and bisexual men», International Journal of Epidemiology, 1997, vol. 26, p. 657-661. []
  13. Jeffrey Satinover, Reflections: interview with NARTH, 5 février 2001, www.narth.com/docs/satinover.html. []
  14. Jeanne M. Marrazzo, «Sexually transmitted infections in woman who have sex with woman : who cares?», Sexually Transmitted Infections, 2000, vol. 76, p. 330. []
  15. Kathleen Melonakos, Why Isn’t Homosexuality Considered A Disorder On The Basis Of Its Medical Consequences?, disponible sur le site de NARTH (www.narth.com). []
  16. La psychiatre américaine Miriam Grossman abonde dans le même sens. Engagée dans la protection de la santé des jeunes au centre de santé de l’université UCLA, elle relève que, si les écoles et les campagnes gouvernementales enseignent aux jeunes à manger de la salade plutôt que de la pizza, à faire de l’exercice régulièrement, à boucler leur ceinture de sécurité en voiture et à utiliser un écran solaire par temps ensoleillé, tout cela afin de se montrer proactives envers leur santé et d’augmenter leur espérance de vie, elles négligent continuellement de les sensibiliser aux risques que pose objectivement l’activité sexuelle sans contrainte. Lire à ce sujet l’article disponible au article.nationalreview.com/300100/unprotected/warren-throckmorton. []
  17. Lorsqu’on procède à un lavement, on introduit dans le rectum un liquide laxatif (par exemple de l’eau chaude avec un petit savon légèrement laxatif). Concrètement, on enfonce de quelques centimètres un tuyau dans le rectum. Le lavement a pour but de faire descendre les selles du partenaire qui se fera pénétrer, de sorte que, lorsque l’autre partenaire se retirera de son anus, il n’y aura pas simultanément évacuation des selles. Sans lavement, une débâcle de selles se produirait. []
  18. Un abcès anal est une infection de l’anus qui peut être causée par un échauffement ou une petite blessure. Lorsque cet échauffement n’est pas soigné, il devient une infection. []
  19. Une fistule, c’est comme une petite fente sur la paroi de l’anus qui ne guérit pas,  qui ne cicatrise pas. Tout passage de selles ou de liquide biologique cause de la douleur, d’où l’infection. On doit alors avoir recours à des drains ainsi qu’à des antibiotiques intraveineux, des pansements et des mèches. []
  20. Les « dildo » (vibrateurs doubles, faits spécialement pour les hétérosexuels ou les homosexuels, formés de deux pénis collés dos à dos) pénètrent très profondément dans le corps. Des radiographies montrent que ces pénis artificiels se rendent (à travers le vagin) jusqu’au sternum, ou (à travers le rectum) jusqu’au coccyx. []
  21. Il s’agit d’appareils gynécologiques que l’on utilise normalement pour dilater le vagin des femmes sur le point d’accoucher. Par chance, les personnes homosexuelles ont habituellement des anus qui se dilatent plus facilement parce qu’elles ont l’habitude des relations anales. []
  22. C. H. Mercer, et al., «Increasing prevalence of male homosexual partnership and practices in Britain 1990-2000», AIDS, 2004, no18, p. 1453-1458. []
  23. L. Valleroy, et al., «HIV prevalence and associated risks in young men who have sex with men», JAMA, 2000, no 284, p. 198-204. []
  24. Voir le site www.lifesite.net/ldn/2007/mar/07032205.html. []
  25. Isabelle Binggeli, «Sensibilisation au VIH – Campagne provocante pour interpeller les gais et bisexuels», Journal Métro, jeudi 12 février 2009, p. 4. []
  26. Voir www2.canoe.com/archives/infos/dossiers/2004/01/20040123-055657.html. []
  27. Jean-Claude Grenier, Des cours de natation obligatoires, 24 heures, Quebecor Media, 20 juillet 2007, p. 3. []
  28. Les relations anales causent des écorchures dans les parois relativement fragiles du rectum. Les bactéries, comme le E. coli – toujours présentes dans les excréments, ainsi que d’autres bactéries, virus et parasites –, pénètrent dans ces lésions et atteignent les tissus situés plus en profondeur à l’intérieur du corps. Le système immunitaire du sujet s’en trouve malmené, même s’il n’a jamais été exposé comme tel au VIH. La suppression immunitaire vient augmenter le risque qu’il développe certains cancers ou infections opportunes qui, autrement, ne se seraient pas implantés. []
  29. Dr. Anonymous, Unprotected. []
  30. P. N. Halkitis, «Intentional unsafe sex (barebacking) among HIV-positive gay men who seek sexual partners on Internet», AIDS Care, 2003, no 15, p. 367-378. []
  31. Par exemple, les relations sexuelles anales à plusieurs partenaires, le barebacking, la sodomie suivie de la succion du pénis souillé d’excréments, la masturbation réciproque, l’utilisation de vibrateurs, de boules de billard, de poignées de porte, de « dildo », etc. []
  32. M. Weinberg et C. Williams, Male Homosexuals: Their Problems and Adaptations, New York, Oxford University Press, 1974. []
Source : http://tavietonchoix.org/ressources/les-mythes-et-les-faits-sur-lhomosexualite/9-%E2%80%93-ne-dit-on-pas-qu%E2%80%99etre-homosexuel-c%E2%80%99est-comme-etre-gaucher-plutot-que-droitier-dans-son-orientation-sexuelle/

 http://youtu.be/Lmado2rAQHc

dimanche 28 octobre 2012

L'homosexualité, un dérèglement hormonal ?



La thèse du caractère biologique de l'homosexualité n'est pas nouvelle. Elle a d'abord été élaborée aux Etats-Unis avant d'être exportée en Europe. Au terme d'une vaste étude, le professeur Jacques Balthazart synthétise dans cet ouvrage qui se veut grand public l'état actuel des recherches et de ses propres conclusions pour affirmer que la thèse de l'homosexualité innée est scientifiquement la plus plausible.

Dans un entretien accordé jeudi à la RTBF, il explique que l'homosexualité est provoquée par une interaction entre des facteurs génétiques et hormonaux dans l'embryon. Plusieurs études suggèrent en effet qu'un stress très important subi par la mère durant la grossesse pourrait déséquilibrer la machine hormonale de l'embryon et influencer durablement son orientation sexuelle, explique-t-il (écouter l'interview complète).
Selon ces études, les homosexuels auraient été exposés durant leur vie embryonnaire à des concentrations atypiques d'hormones, trop d'androgènes pour la femme et pas assez pour l'homme. "Chez l'animal, il est d'ailleurs possible de modifier expérimentalement les taux d'hormones auxquels sont exposés les embryons. Soit on peut rajouter, lors d'une phase précise du développement, de la testostérone dans les embryons femelles, soit on peut bloquer l'action de la testostérone dans les embryons mâles. Et à l'âge adulte on retrouvera des caractéristiques comportementales du sexe opposé bien que les structures morphologiques et génitales de l'animal n'aient pas été modifiées", explique la RTBF.
https://www.google.fr/search?q=Homosexualit%C3%A9+causes+hormonales+&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a