samedi 21 septembre 2013

La PMA, sur le tapis, après les municipales, ben voyons donc ! .



Attention, le sujet épineux va ressurgir, après les municipales, tant qu'à faire ! D'après la porte parole Najat Vallaud Belkacem,  "le cadre sera plus serein"
En clair : ne prenons pas de risques, ça pourrait fausser le résultat ...quelle belle bande d'hypocrites ! Ne soyons pas dupes.

Désolée si mes propos choquent, que voulez vous, je suis ainsi faite,  pourquoi faudrait il que je m'autocensure histoire de ménager les uns et les autres encore en prise avec les soubresauts de leur ego ?
Et comme dirait  Don Miguel Ruiz dans son livre "les 4 accords Toltèques"... "Quoiqu'il arrive n'en faites pas une affaire personnelle. Ce que les autres disent et font n'est qu'une projection de leur propre réalité, de leur rêve. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n'êtes plus victime de souffrances inutiles."
Autrement dit, ne nous laissons plus affecter par ce que pensent les autres, par contre si ce qu'ils pensent se matérialise et se transforme en un projet de société risquant de déstabiliser profondément nos enfants et notre jeunesse, alors là, il faut réagir en pensées et en actes et de préférence en y mettant de l'émotion, ce n'est qu'ainsi qu'on pourra le contrer.


Or, la PMA avec la GPA qui devrait logiquement suivre au nom de l'égalité des droits est un de ces projets qui ne doit pas voir le jour pour les raisons que tout le monde connait maintenant car largement débattues.
On ne touche pas aux droits des enfants !
Un enfant, c'est sacré et tout enfant normalement constitué ne souhaite qu'une chose : avoir un papa et une maman et non deux papas et deux mamans ! Point, il n'y a pas à tergiverser. D'autant que des sondages ont été effectués auprès d'enfants entre 4 et 9 ans et leurs réponses ne laissent aucun doute sur le sujet.
Tous, du moins ceux qui n'ont pas été influencés par un adulte homo, sont unanimes, et avouent préférer un père et une mère  à parent A et parent B, comme leurs petits camarades, tout simplement ! Et comme je les comprends !

Pourquoi n'en a t'on pas tenu compte ?
Sans parler de la majorité des psychologues, unanimes eux aussi, pour dire qu'un enfant a besoin de repères, d'un modèle parental H/F pour se construire et s'épanouir. De nombreuses études ont été réalisées et de nombreux livres ont été écrits sur le sujet.
La dame "TOBEIRA" ferait mieux de s'en inspirer plutôt que de brandir son sempiternel slogan désuet "mêmes droits pour tous"  tout en remettant gravement en cause le droit des enfants.. Ô comble du paradoxe !


A moins ... qu'un enfant ne fasse pas partie de l'humanité ? Qu'il soit considéré comme un animal sur lequel on reporte son affection, un animal qui va nous procurer la dose d'amour dont on a manqué durant l'enfance ?!  Un animal qu'on tentera de refourguer dès qu'il commencera à poser un problème, comme c'est déjà le cas aux Etats Unis où des parents adoptifs tentent de se débarrasser de leurs enfants adoptés dès que ces derniers commencent à devenir ingérables, voire trop encombrants ! 
Et oui, n'est pas parent qui veut, être parent suppose être responsable, d'ailleurs, la dam "Tobéira" ferait mieux d'imposer des cours d'éducation parentale pour les jeunes qui veulent devenir parents et ce bien avant de mettre un enfant en route. Il y a bien trop de parents irresponsables qui font des enfants comme il y a 50 ans en arrière.. sans savoir s'ils seront à la hauteur ni même s'ils pourront les élever dans de bonnes conditions matérielles.. pas grave ! Pourvu qu'ils jouissent au moment de la conception ! Un enfant, ce n'est pas un animal et bien que nous soyons leurs géniteurs, l'enfant ne nous appartient pas !

Malheureusement, la seule parole d'enfant de pseudo couples homo, devenu adulte a été pris en compte lors de la campagne anti "mariage pour tous" et ça, c'est inacceptable car comment donc ces derniers pouvaient ils être objectifs, ayant été eux mêmes conditionnés par leur milieu familial et probablement entourés d'amis gays !
Je vois mal un jeune élevé par des parents homos clamer haut et fort et en public de surcroit qu'il a souffert de la situation sans prendre le risque de faire souffrir  à son tour l'un de ses deux parents, ou les deux ! Faut il s'étonner alors que le gouvernement ait préféré leurs témoignages tronqués à ceux des enfants plus jeunes des couples YinYang  ?! 
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mercredi 28 août 2013

Madame la maire MC Bompard, n'obéira pas à Taubira ! Bravo !

Horreur et damnation ! Madame la maire, Marie Claude Bompard n'obéira pas à Taubira !
Oh la vilaine, elle a osé défier ceux qui gouvernent et mentent, elle a dit NON au mariage de deux lesbiennes, invoquant sont droit d'objectrice de conscience.  Bravo madame la maire, tous mes respects

Lorsqu'une loi est totalement absurde et va à l'encontre de l'intérêt collectif et c'est le cas, ( on sait aujourd'hui que cette revendication était totalement injustifiée et remplaçable par une union civile ou PACS réaménagé ) nous devrions avoir le courage de la désobéissance civile.
Cette loi passée en force restera à tout jamais une victoire amère pour la communauté homo qui en guise de reconnaissance officielle ont dû se contenter d'une montée spectaculaire de l'homophobie... comme dit le proverbe  "qui sème le vent récolte la tempête"

Pour ne pas dire un tsunami déferlant sur la France charriant avec lui des vagues de contestations, alors qu'il aurait été si simple de contenter le peuple : un référendum réclamé à cors et à cris !
 Ce qui aurait réglé la question épineuse en deux temps trois mouvements. Un sujet aussi délicat justifiait bien une telle décision et ainsi, le gouverne "aimant" aurait fait  preuve de sagesse au lieu de faire preuve d'obstination égotique.

D'autant que la  minorité tyrannique en mal de reconnaissance officielle ne s'est pas bousculée au portillon des mairies depuis la promulgation de la loi.. et pour cause, sans la PMA/GPA, le mariage, boff !
Tout ça pour ça... ils ont failli mettre la France à feu et à sang, provoquer un putsch avec une armée composée de dangereux terroristes, des  familles et des enfants.. :-) . tout ça au nom d'une inégalité fictive, pur produit d'une imagination exaltée.

 Le jeu valait il la chandelle ? Les homos sont ils plus heureux aujourd'hui ? J'en doute..
Alors, oui, je dis bravo à madame la maire courageuse ! Personne et encore moins l'Etat ne devrait avoir le droit d'obliger qui que ce soit à commettre un acte à l'encontre de sa conscience directrice provoquant inévitablement  un conflit intérieur, qui à son tour induira à plus ou moins long terme des maladies physiques et psychiques.
Si Manuel Gaz devient fou et donne l'ordre aux policiers de tirer à balle réelle dans une manif... devront ils obéir également ?
Les croyants diraient :  "il faut obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes"   le mot "Dieu" symbolisant ici la bribe de conscience en nous, bribe héritée de la conscience universelle. En aucun cas il ne s'agit d'un dieu anthropomorphique parmi les petits dieux des polythéistes à barbe blanche assis sur un trône pour juger les pauvres humanoïdes en perdition que nous sommes... :-)
Par ailleurs, n'y a t'il pas eu par le passé des objecteurs de conscience refusant le service militaire ?
J'adhère à 100% aux propos de Jean Vallier :  " c'est bien un viol de conscience sous la menace " "t'obéiras à Taubira ou gare "

Tout comme le traitement de faveur qui a été réservé au jeune Nicolas, anti mariage pour tous, indécent et totalement disproportionné, surtout dans une société qui se prétend démocratique !  "Démoncratique", plutôt
Inutile que j'explique la symbolique du mot "démon" n'est ce pas ? Même s'il se manifeste dans l'imaginaire humain sous la forme d'une vilaine bête cornue et moustachue :-)))  la matérialisation d'un égrégore peut être ? Comprenne qui pourra.

Mais qu'on se le tienne pour dit... si dame Taubira reste dans ce gouverne "aimant" les français devront s'attendre à voir les portes des pénitenciers, se refermer, non pas sur les malfrats de tout acabit, mais sur les innocents courageux objecteurs et objectrices de conscience !
Euh.. et si je ne m'abuse,  François Hollande, n'avait il pas évoqué le cas de conscience des maires au congrès des maires ? .


Alors ? Il faudrait savoir !

Divinanexus

vendredi 23 novembre 2012

La fidélité : une question d'hormone

Très intéressant cet article trouvé sur futura-Sciences.
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 Science décalée : l’ocytocine, l’hormone qui rend les hommes fidèles

Par Janlou Chaput, Futura-Sciences
 
On attribue de nombreuses vertus à l’ocytocine, cette hormone produite par le cerveau : elle contribuerait à l’attachement des parents pour l’enfant, à l’amour ou encore favoriserait les relations sociales. Une nouvelle étude montre qu’elle a tendance à rendre les hommes plus fidèles !
Ce n’est pas un philtre d’amour, mais on s’en approche peut-être. L’ocytocine, une hormone bien connue pour son rôle dans l’attachement et la socialisation, favoriserait la monogamie. On sait déjà que c’est le cas chez le campagnol des prairies et une étude allemande émanant de l’université de Bonn montre qu’il en va de même chez l’espèce humaine.
Le contexte : l’ocytocine, hormone de l’amour
Cela n’a rien de romantique mais l’amour pourrait naître dans l’hypothalamus. Cette petite glande perdue au milieu du cerveau se situe à l’interface entre le système nerveux et le système endocrinien. Elle régule l’appétit et la sexualité mais pas seulement : elle sécrète de l’ocytocine, hormone de l’amour, de l’attachement et de la socialisation.
Au sein d’un couple, elle favorise le lien qui unit les deux protagonistes. Lors de l’accouchement, elle est produite en masse par les deux parents, ce qui les lie à leur enfant. Elle joue d’autres rôles au quotidien puisqu’elle facilite les relations sociales. Elle est même testée comme traitement contre la timidité, favorisant la confiance en soi et confère même du courage.
Chez le campagnol des prairies, l’ocytocine contribue à la fidélité et à la solidité du couple. Des scientifiques allemands ont voulu voir s’il en était de même pour notre espèce. Mais des rongeurs à l’Homme, il y a parfois un fossé difficile à franchir. L’hypothèse des chercheurs, dévoilée dans The Journal of Neuroscience, avance que des hommes avec un taux élevé d’ocytocine, et donc plus sociables, auraient tendance à se rapprocher plus facilement d’une jolie femme. C’est le cas… uniquement pour les célibataires. Les hommes en couple, eux, préfèrent prendre leurs distances.

Messieurs, vous laisseriez-vous tenter ? Un homme en couple après une décharge d'ocytocine ne s'approcherait pas trop près car il resterait fidèle... © Phartisan, StockFreeImages.com
L’étude : l’homme en couple qui fuit les jolies femmes
Cinquante-sept volontaires de la gent masculine ont été recrutés pour le bien de l’expérience. Tous se déclaraient hétérosexuels. Certains entretenaient une relation avec une femme, d’autres non. Une partie des volontaires recevaient une injection d’ocytocine par un spray nasal, les autres inhalaient un placébo. Quarante-cinq minutes plus tard était organisée une rencontre avec une jolie femme, qui venait se placer à 60 cm d’eux.
Ce dernier détail a de l’importance car de manière inconsciente, nous établissons avec autrui ce que l’on appelle une distance sociale. Elle est idéale pour discuter ou marcher avec quelqu’un, mais si on la transgresse et qu’on la réduit en entrant trop dans l’intimité, un sentiment d’inconfort peut naître. Sauf dans le cas d’un flirt ou d’une relation amoureuse, où ces critères sont revus à la baisse.
Or, dans le cas de cette expérience, la distance sociale a été franchie, les deux sujets se retrouvent bien près. Cela n’a dérangé ni les hommes du groupe contrôle ni les célibataires, l’expérimentatrice ayant été jugée attirante. En revanche, les hommes en couple sous ocytocine, qui trouvaient eux aussi la femme séduisante, ont avoué se sentir mal à l’aise et ont reculé de 10 à 15 cm en moyenne. L’hormone rend sociable mais ne favorise pas le rapprochement entre les corps.
L’œil extérieur : la fidélité pour des bébés en meilleure santé
Pour les auteurs de ce travail, les hommes et les campagnols des prairies mâles partagent donc un aspect en commun : l’ocytocine favorise chez eux le goût pour la monogamie. La tentation n’a pas eu d’emprise sur eux puisqu’ils ont fui. En plus d’être l’hormone de l’amour, de l’attachement et de la socialisation, elle devient maintenant l’hormone de la fidélité.
En creusant davantage, on peut s’interroger sur l’utilité d’un tel processus dans notre espèce. Pourquoi a-t-on besoin d’entretenir la monogamie, qui est loin d’être une règle absolue dans le monde animal ? Les auteurs ont leur petite idée : en restant fidèle à une femme, l’homme contribue à l’éducation et à la protection des enfants, leur conférant plus de chances de survivre à un monde hostile. CQFD.

Source : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/biologie-3/d/science-decalee-pourquoi-les-hommes-aiment-ils-tant-les-seins_41693/ 

jeudi 22 novembre 2012

Moi, homophobe et paranoïaque



Ma première vidéo sur dailymotion concernant le mariage gay a été mise par daily en contenu explicite, compteur de vue bloqué, alors qu'elle ne contient rien de choquant.. seule une vérité qui blesse.
Vérité que j'ai exposée également sur You Tube sur le ton de la révolte, dans un langage quelque peu "trivial," me permettant quelques mots crus appropriés, assumés, pour appuyer mes dires, pointant du doigt les conséquences d'une pratique sexuelle dévastatrice, dont les stars du porno, telles que Brigitte Lahaie et autres font l'éloge avec moult détails, sans penser aux conséquences, poussant le peuple à l'irresponsabilité.

Je n'aurais pas le droit d'exprimer ma pensée sur ce ton, il aurait fallu que j'use d'euphémismes, que je reste politiquement correcte ! Shuut, on ne parle pas de la sexualité gay de cette manière, enfin, voyons !  
Seuls les pervers de tout acabit auraient le droit d’inonder le net avec un contenu plus que choquant et contestable au risque d'entraîner tout un pan de la jeunesse dans leurs délires lubriques.

Ma première vidéo sur You tube m'a donc valu une volée d'attaques personnelles, d'injures et de grossièretés, de menaces, auxquelles je réponds ici :  http://www.youtube.com/watch?v=jOnj3IMZ0PM de la part de la communauté gay et des pro mariage gay, dont j'aurais écorché les oreilles sensibles et qui tentent de me culpabiliser en prétendant que mes propos pourraient pousser les jeunes homosexuels à la dépression et au suicide.

Aux jeunes homosexuels qui me lisent, je leur dis ceci : informez vous, ne tenez pas compte des mes propos, j'ai juste voulu provoquer une prise de conscience chez vos ainés, ceux là même qui veulent vous entrainer dans leurs délires omettant de vous parler des conséquences de la sexualité gay, (sodomie) sur la santé psychique et physique et malheureusement, il y en a, mais elles sont volontairement occultées.
L'agressivité des sodomites sous mes vidéos est révélatrice d'un mal être profond, d'une division intérieure. L'extérieur étant le reflet de l'intérieur !

Comprenez plutôt que vous êtes victimes de manipulations médiaticopolitiques, victimes des stars liftés et botoxés sur le déclin. Ils vous conditionnent dès votre plus jeune âge en vous bombardant de slogans et d'images mettant en scène des homosexuels sous prétexte d'amour inconditionnel et de tolérance.
 Dans les programmes scolaires canadiens, les jeunes devront désormais buzzer pour tenter de trouver le nombre exact de la population pratiquant la pénétration anale !
On voit nettement que l'objectif est de semer le doute dans l'esprit de ces jeunes qui seront déstabilisés quant à leur identité sexuelle. Implicitement on leur dit " ne tenez pas compte de votre sexe, qu'il soit masculin ou féminin importe peu, ce sont vos désirs qui vont déterminer si vous êtes homme ou femme, pas votre sexe !  Un mensonge éhonté !
A ces jeunes canadiens là, je leur dis: Refusez ce pseudo cours d'éducation sexuelle qui n'en est pas un ! C'est votre droit !
Et ce n'est pas parce qu'à un moment donné, vous avez eu un désir pour une personne du même sexe que vous êtes forcément homosexuel, homophile tout au plus.
Ne vous laissez plus manipuler par ceux qui  trouvent leur compte dans le contexte gay,  gaypride, activité nocturne, drogue, tournante sodomite et ses conséquences.. contexte glauque,  pas si gai que ça, vu les témoignages des ex gays et des articles sur le net, pas assez connus.

Paradoxalement, ces oreilles sensibles ne sont pas sensibles au choc de l'image : vidéo porno homo, horreurs et violences de toutes sortes auxquelles peut accéder n'importe quel enfant un tant soit peu éveillé !
Bref, le lobby gay, ostensible et provocateur, gaypride et cie, avec en tête de cortège des lesbiennes et des gays agressifs du genre C.Fourest, sont en train de nous faire prendre des vessies pour des lanternes, voulant obliger la majorité de la population à accepter l’inacceptable, c'est à dire que l'homosexualité sodomite serait naturelle sous prétexte qu'elle nous viendrait de la culture gréco romaine, voire sumérienne et que quelques spécimens intellectuels, écrivains, philosophes, rois et hauts dignitaires des siècles précédents, étaient ou auraient été homosexuels ! Ils ne sont plus là pour témoigner et je doute qu'ils l'auraient fait
Il faut croire que la décadence s'est accentuée avec l'arrivée du couple maudit Jean Paul Sartre et Simone de Beauvoir ! La liste est non exhaustive.

Heureusement le monde change, les mentalités aussi ! Etre homosexuel de nos jours, n'est plus une fatalité, de nombreux psychologues affirment qu'il y a des causes et des thérapies libératrices. De nombreux homosexuels changent d'orientation sexuelle et redeviennent hétéro, goûtant un bonheur inégalé, après une période de réadaptation. Et oui, des années de divisions intérieures laissent des traces.
Certains homos, dont Philipe Arino, optent pour le lâcher prise, l'acceptation, la renonciation à une sexualité mortifère et trouvent la sérénité et la paix de l'esprit..

Devant l'acharnement des gays à vouloir me faire taire, je suis encore plus déterminée à faire connaitre cette étude canadienne. Voir : http://www.youtube.com/watch?v=zAtEK8skFFs:
Je constate simplement que la liberté de croyance, de penser, et d'expression est gravement menacée en France !

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Extrait du site de Philipe Arino.

La communauté homosexuelle fait tout un pataquès autour des attaques homophobes qu’elle subirait pour ne pas regarder le désir homosexuel en face. Notamment, certains individus n’arrêtent pas de parler du ravage des suicides au sein du « milieu ». Pour les quelques cas de tentatives de suicide de personnes homosexuelles connus, ils sont tous généralement autant explicables par des phénomènes sociaux exogènes (hostilité de l’environnement familial, pression sociale, échec scolaire, etc.) que par des facteurs endogènes (déceptions amoureuses homosexuelles, drames issus du « milieu » homosexuel, comportements aberrants des personnes homosexuelles entre elles, médiocrité de l’accompagnement amical gay, manque de sens trouvé dans un certain mode de vie homosexuel, dégoût de soi et du monde, état dépressif, consommation de substances psychoactives ou d’alcool, angoisses dues à une infection par le VIH, difficile transition vers le troisième âge, etc.). http://www.araigneedudesert.fr/page/on-n-a-rien-compris-a-l-homophobie.html

Voir aussi ce jeune gay qui a crée une association, serait il homophobe lui aussi ?
http://www.rtl.fr/video/emission/le-choix-de-yves-calvi/xavier-bongibault-president-de-l-association-plus-gay-sans-mariage-un-enfant-a-besoin-de-l-equilibre-homme-femme-7754334016



" Le projet du gouvernement est loin de faire l’unanimité au sein de la communauté gay. Contrairement à ce qu’affirment les médias, cette revendication n’est pas majoritaire chez les homosexuels. La plupart s’en moquent, mais l’influence des associations LGBT [lesbiennes, gay, bi et trans] est telle que beaucoup n’osent pas le dire...ces associations sont dans une logique de surenchère permanente."

 @ picozepto.. "@Antonio Soler : les sextrémistes 'homophobeurs' ont un conditionnement militant si prononcé que la meilleure façon de leur faire prendre conscience de leurs contradictions, sans doute à la source de leur division intérieure mère de leur virulence, est de citer des gays, des associations gays, des publications scientifiques ou rapports d'organismes publics, qui contredisent leurs certitudes militantes sans fondement.

"Les retombées homophobes de la loi du « mariage pour tous »
http://www.collectifpourlafamille.fr/?p=469


http://leplus.nouvelobs.com/contribution/710831-mariage-pour-tous-je-suis-homosexuel-pas-gay- cessez-cette-confusion.html

Dieu Merci ! - L'Eglise est-elle homophobe ? avec Philippe Arino
http://www.youtube.com/watch?v=PgaGRTa0AeQ&feature=player_embedded#!
http://tavietonchoix.org/


Jeudi 29 novembre 2012 : Philippe Arino est l'un des portraits de 15 min de l'émission de télé "Compléments d'enquête" diffusée sur France 2 en deuxième partie de soirée. Il a été filmé toute la semaine du 12 au 18 novembre entre Château-Gontier, Laval, puis la "Manif pour tous" à Paris le 17 nov).

lundi 29 octobre 2012

Guérir par la psychogénéalogie





La psychogénéalogie est une approche relativement récente, développée dans les années 1970 par Anne Ancelin Schützenberger. Elle s’est fondée sur ses propres observations et sur des concepts issus de la psychanalyse et de la systémie.

C’est aussi l’auteure connue pour son livre « Aïe, mes aïeux ! ».
La psychogénéalogie part du principe que chaque individu est  le maillon d’une longue chaîne. Nous avons un héritage génétique mais aussi psychologique qui s’exprime à travers l’histoire de notre famille.
La transmission psychique est parfois consciente mais le plus souvent inconsciente.
Selon la théorie de la psychogénéalogie, les événements, traumatismes, secrets, conflits vécus par les ascendants d’un sujet peuvent conditionner des troubles psychologiques, des maladies et des comportements symptomatiques.
Le travail permet de comprendre les liens subtils entre les générations, de comprendre la motivation profonde des choix, de déprogrammer les répétitions…
La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle sont des approches, parmi d’autres, dans le champ des psychothérapies qui peuvent  initier un travail personnel ou s’intégrer dans un parcours thérapeutique déjà engagé.

Pourquoi la psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle?

Il permet de trouver et occuper sa place pleinement : Psychiquement et physiquement, en accord avec sa propre identité.
Le travail avec l’arbre généalogique replace chaque personnage dans sa vie.
Il délivre des secrets de famille, du poids des non-dits, des programmations limitantes,  des sentiments d’abandon, des deuils non faits, des échecs répétitifs, des conflits en famille ou au travail,  du manque de dialogue parents-enfants, des peurs inexplicables, des blocages,  des difficultés à former un couple, des croyances limitantes, du poids des maladies …

La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle permettent de « guérir son arbre » pour :
- Identifier sa place et être en paix avec soi-même.
- Comprendre et utiliser son potentiel à la lumière de son héritage afin d’être capable de réaliser ses projets.
- Prendre des décisions justes et agir en toute liberté en utilisant le processus de changement au lieu de le subir.
- Percevoir les relations avec ses descendants beaucoup plus fluides, libres.
La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle a pour premier objectif de nous faire prendre conscience de nos mécanismes familiaux, de cette famille qui nous habite.
Au plus profond de nous, vivent non seulement nos parents, mais aussi leurs propres parents, nos grands-parents, voire nos arrières grands-parents. Au cœur de nous vivent aussi nos frères et sœurs, nos cousins et cousines, les oncles, les tantes.
En nous, vivent aussi des amis de la famille, des adultes que nous avons aimés ou détestés pendant notre enfance, (instituteur ou professeur, médecin, religieux, etc.), des enfants, des adolescents qui étaient nos amis intimes ou nos camarades.
Même si nous ne connaissons pas tous les personnages de notre arbre généalogique, leur trace subsiste en nous à travers des secrets, des non-dits, des allusions transmis par nos parents.
La psychogénéalogie et l’analyse transgénérationnelle a pour deuxième objectif de nous aider à nous libérer des emprises familiales qui nous empêchent de vivre selon notre désir.
Les personnes viennent souvent parce qu’à un moment donné, elles se posent des questions, ont une sensation de malaise qui semble les dépasser. Elles ne comprennent pas d’où cela peut venir dans leur vie où apparemment, tout va pourtant bien. Elles sentent qu’il y a quelque chose à creuser derrière tout ça.
C’est une sorte de loyauté inconsciente qui nous pousse à répéter, que nous le voulions ou pas, que nous le sachions ou pas, des situations agréables ou des évènements douloureux.
Nos parents eux-mêmes nous élèvent en fonction de la relation qu’ils ont eue avec leurs propres parents et leur fratrie. Même si nous ne les avons pas connus, nos grands-parents également sont fondamentaux pour comprendre notre histoire. Ils sont aussi source d’identifications lorsqu’ils ont été présents dans notre vie.
Dès notre conception nous sommes l’objet de projections de la part de notre famille. Nous sommes désirés ou non, attendus en tant que fils ou fille, fantasmés, rêvés quant à notre physique, notre caractère, nos aptitudes. Nous sommes d’abord un enfant imaginaire.
Nous recevons des étiquettes dès notre naissance, nous vivons des identifications à un père, une mère, un aïeul pendant notre enfance et adolescence.
A notre naissance nous recevons prénom(s) et nom. En grandissant nous sommes définis, étiquetés selon certaines caractéristiques corporelles, sexuelles, affectives, intellectuelles, artistiques, en fonction des membres de notre arbre généalogique, par comparaison également avec nos éventuels frères et sœurs.
Le but de la psychogénéalogie et de l’analyse transgénérationnelle est d’aider le patient à en prendre conscience pour se dégager de ce qu’il porte parfois comme un fardeau, afin d’être en paix avec soi-même pour mieux être, pour mieux agir, pour mieux aimer les autres et la vie.

En séance

La personne réalise le dessin de son arbre généalogique, dit génosociogramme, tracé librement, à partir d’éléments simples tels que les dates de naissance, de décès, de mariage, de divorce, le choix des prénoms, les lieux de vie, les métiers.
Le génosociogramme est l’outil principal, en psychogénéalogie qui permet de mettre en évidence les évènements répétitifs: les accidents, les maladies, les conflits relationnels, les deuils non résolus, les non-dits, les différences culturelles, sociales, les syndromes de double anniversaire, les loyautés invisibles, les mythes familiaux, sources d’obstacles à la réalisation personnelle.
Le génosociogramme a un impact visuel important. Il met en perspective une vision du groupe familial dans son ensemble.
Ce travail permettra de se libérer des nœuds émotionnels, des difficultés rencontrées au cours de l’existence, de l’héritage des aïeux; et permettra également de redistribuer les places de chacun dans l’ordre des générations, donc au sujet de retrouver sa place.
Ce qui se cache derrière, les personnages, les situations, les relations, les non-dits, sera soulevé par le thérapeute.
Au fil des séances, la personne va mobiliser sa propre mémoire mais aussi celle des membres de la famille, de façon très naturelle.
Elle interroge d’abord ses parents et ses grands parents s’ils sont encore vivants mais aussi des cousins, des parents plus éloignés qui possèdent aussi leur vision de cette histoire familiale; toute cette recherche aura pour effet de retisser les liens, souvent aussi d’en créer des nouveaux.

Ce travail vous aide à mieux comprendre l’origine de vos conflits et à réinvestir sa place positivement.
Vous choisirez alors plus librement vos propres chemins d’autonomie et de développement.

L’arbre porte une symbolique très forte:
Il est le lien entre le ciel et la terre. De part ses racines jusqu’à ses branches, il porte les liens entre nos origines et notre devenir.
Il est aussi le symbole de longévité.
Il pose la question de la transmission, ce que nous construisons et ce que nous transmettons à nos descendants.
Un arbre, n’a-t-il pas besoin de ses racines pour avoir un beau feuillage?
Source : http://sophrologues.org/sylvainemorey/psychogenealogie/

La face cachée de l'homosexualité


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En 1978, l’Institut Kinsey publia sur le sujet une étude effectuée par Bell et Weinberg, la plus ambitieuse jamais entreprise sur l’homosexualité. Cette étude révéla que 28% des homosexuels mâles avaient eu des relations sexuelles avec au moins un millier de partenaires chacun. En outre, 79% des répondants avaient précisé que plus de la moitié de leurs partenaires sexuels étaient des étrangers. Selon cette enquête, seulement 1% des hommes sexuellement actifs avaient eu moins de cinq partenaires2. Les auteurs de l’étude affirmaient: « On doit accorder peu de crédibilité à la supposition que la “promiscuité” des personnes homosexuelles mâles ait été surestimée3. » « Presque la moitié des hommes homosexuels de race blanche… ont dit avoir eu au moins 500 partenaires sexuels différents durant leur carrière homosexuelle.4 » Comme l’étude se basait sur un échantillonnage de commodité, non représentatif de la population états-unienne, on ne peut certifier être en face d’un portrait fidèle de la situation dans ce pays (d’autant plus que l’épidémie de sida qui a suivi, dans les années 1980 et 1990, l’a indéniablement modifiée), mais l’étude de Bell et Weinberg témoigne du pourcentage élevé des comportements sexuels anonymes qui prévalent chez un groupe d’individus, ainsi que la mesure de l’instabilité observée dans les unions homosexuelles.
Un tel taux de changement de partenaires sexuels et une telle témérité dans leur sélection sont des causes directes du déclin de la longévité chez les hommes homosexuels, de leur exposition à un grand nombre d’infections incurables, de leur recours plus fréquent à des soins médicaux, de leur vulnérabilité à la dépression et de leur grande difficulté à demeurer fidèles à un seul partenaire sexuel.
En 2002 et 2007, selon des statistiques récoltées par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) dans l’État américain de l’Arkansas, le VIH/SIDA affectait 36 hommes hétérosexuels sur 100 000, alors qu’il touchait 6 600 hommes homosexuels sur 100 000. Les hommes homosexuels actifs étaient donc exposés à un risque 183 fois plus élevé de contracter le VIH/SIDA que les hommes ayant des pratiques hétérosexuelles5, et cinquante fois plus sujets à contracter le SIDA que la population hétérosexuelle en général aux États-Unis6.
Selon le Portail VIH/SIDA du Québec, 51% des 17 920 personnes infectées du VIH dans la Belle Province l’auraient été par contact homosexuel entre hommes. En comparaison, c’est presque deux fois plus que les transmissions par contact hétérosexuel (source: Journal de Montréal, 20 février 2012, page 25).
 
Selon le HIV/AIDS Surveillance Report (Atlanta, GA : Center for Disease Control and Prevention) publié en 1993, sur la population en général, 80% de ceux qui étaient touchés par les ITS (les infections transmises sexuellement) les plus sérieuses en Amérique sont des personnes homosexuelles7.
En 1984, l’étude The Male Couple, effectuée par McWhirter et Matison (un couple homosexuel formé d’un psychiatre et d’un psychologue) dans le but de contredire la réputation d’instabilité des unions homosexuelles, conclut : sur les 156 couples mâles observés, dont les deux tiers avaient déclaré leur intention ferme de demeurer fidèles, seulement sept furent en mesure de tenir parole. Et de ces sept couples, aucun ne dura plus de cinq ans8!
Les chiffres de Bell et Weinberg confirmaient déjà la chose, révélant que seulement 14% des hommes gais (et seulement 40% des personnes lesbiennes) ont des relations monogames9.
Dans une étude récente sur les pratiques sexuelles dangereuses inhérentes à l’homosexualité, le docteur John R. Diggs10 rapportait que les hommes homosexuels contractent la syphilis à un taux de trois à quatre fois plus élevé que les hommes hétérosexuels. Il fut également démontré que les rapports anaux (la sodomie) exposent les hommes homosexuels à des taux élevés de cancer de l’anus, en plus d’être une cause d’hémorroïdes, de fissures anales, de traumatismes dans la région rectale et de rétention de corps étrangers. De plus, les personnes homosexuelles qui s’engagent dans un contact oral-à-anal ont un plus haut taux de parasites et autres infections intestinales. Une enquête de CDC datant de 1988 a révélé que les hommes homosexuels comptaient pour 21% de tous les cas d’hépatite B, alors qu’ils ne forment que 2% de la population11.
En 1997, The International Journal of Epidemiology publia les taux de mortalité des personnes gaies et bisexuelles au Canada. Le rapport fut piloté par le British Columbia Center for Excellence in HIV/AIDS de l’hôpital St. Paul de Vancouver. Les auteurs de cette enquête conclurent : « Au Canada, dans un centre urbain majeur, l’espérance de vie d’un jeune homme de 20 ans, homosexuel ou bisexuel, est de huit à vingt ans de moins que celle des autres hommes. Si la tendance se maintient, nous estimons que près de la moitié des jeunes hommes homosexuels ou bisexuels, actuellement âgés de 20 ans, n’atteindront jamais leur 65e anniversaire de naissance12
Selon d’autres données, citées en janvier 2001 par le docteur Jeffrey Satinover, 30% de tous les hommes homosexuels âgés de 20 ans seront décédés ou infectés par le VIH avant d’atteindre l’âge de 30 ans13.
Lesbianisme
Les femmes lesbiennes sexuellement actives ne sont pas plus épargnées, devant recourir, elles aussi, plus fréquemment à des soins de santé, et, en plus, s’exposant à des risques élevés de perte de fécondité. Ces conséquences sont directement liées à leur tendance sexuelle.
Jeanne Marrazzo, de l’école de médecine de l’Université de Washington, a énuméré récemment un certain nombre d’infections transmises par les pratiques sexuelles entre femmes, principalement à cause de sécrétions vaginales infectées : virus du papillome humain (HPV), lésions intra-épithéliales (SIL), infections vaginales bactériennes (BV) et autres infections plus communes comme le VIH et l’hépatite B. Certaines des études qu’elle examina concluaient que les « infections vaginales bactériennes (BV), une condition associée à une inflammation au niveau pelvien dont les conséquences sont défavorables à une grossesse, frappe de 24% à 51% des lesbiennes qui ont des relations sexuelles14».
Dans un article sur les conséquences médicales de l’homosexualité active, l’infirmière Kathleen Melonakos précisait : « Même en cherchant bien dans mes souvenirs, je ne connais pas d’autres groupes d’individus aux États-Unis qui meurent dans la mi-trentaine de maladies infectieuses, à part les personnes homosexuelles actives15.» À l’emploi du Centre médical de l’Université de Stanford durant les années 1980 et 1990, elle a vu les dommages que les personnes homosexuelles infligent à leur corps à l’occasion de certaines de leurs pratiques. Elle en est arrivée à conclure que l’homosexualité active ne correspond pas à un comportement « santé » et ne devrait pas être encouragée16.
Dans son article, elle établit la liste des maladies que les personnes homosexuelles actives sont plus à risque d’attraper ou de développer :
  • les infections classiques transmises sexuellement (la gonorrhée, la chlamydia, la syphilis, l’herpès, la gale, les morpions);
  • les maladies de l’intestin (infections Shigella, Campylobacter jejuni, Entamoeba histolytica, Giardia lamblia, l’hépatite A,B,C,D et le cytomégalovirus);
  • les traumatismes anaux (ceux reliés et/ou résultant de l’incontinence fécale, les hémorroïdes, les fissures anales, la rétention de corps étrangers dans le rectum, les déchirures recto-sigmoïdes, les allergies ano-rectales
  •  les œdèmes péniens, les sinusites chimiques et les brûlures par inhalation de nitrites;
  • le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA).
Le rectum utilisé comme organe sexuel
Dans une entrevue qu’elle nous a accordée en 2005, une infirmière du département de chirurgie et d’urgence de l’hôpital Saint-Luc de Montréal a levé le voile sur les pratiques liées aux pénétrations anales entre hommes. (L’hôpital Saint-Luc a ceci de particulier qu’il est situé à l’extrémité ouest du village gai de Montréal. Les personnes homosexuelles fréquentant ou habitant le village et ayant besoin de soins médicaux d’urgence ont donc de bonnes raisons de s’y retrouver majoritairement.)
La clientèle homosexuelle la plus exposée aux blessures est formée d’individus qui ont des problèmes psychiatriques ou qui ont consommé de la drogue. En effet, beaucoup de ceux qui fréquentent les saunas du centre-ville se droguent avant d’y aller. Il est fréquent que les personnes qui vont dans des after hours pendant douze heures consécutives consomment de l’ecstasy pour tenir le coup et pour ensuite être capables d’assumer une relation homosexuelle publique douloureuse.
Lorsqu’elles s’apprêtent à vivre une nuit fauve, plusieurs personnes homosexuelles se préparent. Pour éviter des blessures au rectum, elles se font des lavements17 pour évacuer leur ampoule rectale, puis elles absorbent des médicaments vasodilatateurs, c’est-à-dire des pilules qui dilatent leur anus. Souvent, elles consomment aussi un produit ou des drogues – des anti-inflammatoires – pour ne pas sentir les premières pénétrations. Graduellement, leur anus devient tellement dilaté qu’elles ne ressentent plus de douleur.
Ces pratiques causent régulièrement des abcès anaux18 ou des problèmes de fistules anales19. La pénétration anale a également comme conséquence d’abîmer le sphincter. L’anus est en vérité un orifice de sortie. Cet orifice n’a physiologiquement aucune fonction d’entrée (à l’exception de l’introduction de suppositoires, ce qui constitue une application médicale, donc artificielle plutôt que naturelle). L’utilisation de l’anus comme orifice d’entrée conduit donc à des conséquences néfastes. La cessation de la fonction du sphincter est l’aboutissement normal de 30 à 35 ans de pratiques de relations anales. Les vieux hommes homosexuels actifs ont pratiquement tous l’anus dilaté. Ils sont alors obligés, matin et soir, de se faire des lavements pour ne pas être en permanence en incontinence anale.
Les personnes homosexuelles intoxiquées se causent également des blessures en tentant d’introduire dans leur rectum des objets hétéroclites : des poignées de porte, des boules de billard, des ampoules électriques, des vibrateurs doubles20, des bouteilles, etc. L’anus est un sphincter : c’est un muscle qui a la capacité de se refermer et de s’ouvrir. Pour cette raison, les objets qu’on tente d’y introduire restent coincés parce que le sphincter anal se referme tout de suite après. Il y a ensuite un phénomène de succion qui aspire l’objet à l’intérieur du corps. Ainsi, la personne n’arrive plus à le saisir pour le faire sortir. Si un vibrateur ou une boule de billard entre dans le rectum et n’en sort plus, une opération sera nécessaire pour l’en retirer. On fait une incision au niveau des intestins, puis on récupère l’objet.  Pour arriver à extraire les poignées de porte et les bouteilles, on installe des spéculums21 dans le rectum du patient.
Ces considérations confirment ce que le bon sens devinait déjà : contrairement à la relation sexuelle entre un homme et une femme, qui est nécessaire si l’on veut concevoir un enfant, la sodomie peut bien amuser ses participants, mais elle n’apporte rien en retour à la société. Bien au contraire, la sodomie engendre des coûts sociaux importants, entre autres des coûts de soins de santé élevés, puisqu’elle est loin d’être une pratique marginale dans la communauté gaie.
  • Selon une étude britannique, la majorité des hommes homosexuels (60%) pratique la sodomie. Cette pratique se déroule fréquemment sans l’utilisation de condom et malgré le fait que les participants se savent porteurs du VIH. En conséquence, un nombre élevé de maladies est associé aux relations anales, dont plusieurs sont rares ou même inexistantes dans la population hétérosexuelle22.
  • Il y a une augmentation significative du risque de contracter le VIH lorsque l’on s’engage dans des relations anales. Les jeunes hommes homosexuels âgés de 15 à 22 ans qui ont déjà eu des relations anales présentent un risque cinq fois plus grand de contracter le VIH que ceux qui n’ont jamais eu de telles relations23.
  • Une étude parue dans l’édition de février 2007 du International Journal of STD & AIDS rapporte que les hommes homosexuels actifs porteurs du VIH présentent un risque 90 fois plus élevé de développer un cancer de l’anus que la population en général24.
  • Une étude menée à Montréal (Canada) en 2005 a démontré qu’un homme gai (ou bisexuel) sur huit était séropositif et que, de ce nombre, un sur cinq ne savait pas qu’il était infecté25.
Malgré cela, aucune campagne gouvernementale ne cherche à sensibiliser la population en général – et plus particulièrement la population à tendance homosexuelle – sur les conséquences dangereuses de cette pratique. Au contraire, au Québec en décembre 2008, une publicité gouvernementale invitait la population à concevoir comme normale les relations sexuelles entre homme…
Certains faits sont curieux :
  • Il y a environ une décennie, on a contraint les studios d’Hollywood à cesser d’offrir systématiquement, comme modèles aux enfants, des héros qui fument au grand écran, ayant constaté la contamination que cela entraînait chez ces enfants devenus adolescents.
  • Depuis quelques années, on a retiré les boissons gazeuses des machines distributrices de toutes les écoles primaires du Canada, après qu’une étude menée par le docteur Perry Kendall eut révélé que, depuis qu’elles y étaient présentes, la prévalence de l’obésité chez les jeunes garçons avait triplé, entre 1981 et 1996.
  • Il y a quelques années, le ministère de la Santé du Québec a dû débourser une fortune afin de retracer et tester 2614 patients opérés par une chirurgienne de l’hôpital Sainte-Justine dont on avait découvert, après sa mort, qu’elle était infectée par le VIH26.
  • En 2008, le gouvernement du Québec a rendu obligatoire l’installation de pneus d’hiver, dès la mi-décembre, afin de réduire les accidents de la route causés par la moins bonne adhérence des pneus quatre-saisons.
  • En 2007, la coroner Andrée Kronstrom a recommandé de rendre les cours de natation obligatoires pour les élèves du primaire et du secondaire, à la suite du décès par noyade de 136 personnes, entre 2001 et 2005, au Québec27.
Malgré cela, les organisations responsables de la santé publique et de l’éducation sexuelle de nos jeunes continuent à présenter les relations anales comme inoffensives et normales, affirmant que cette pratique est aussi naturelle que le coït, à condition d’utiliser un condom (comme si le port du condom modifiait la manière de fonctionner de l’anus et du rectum, comme si le latex avait le pouvoir de faire disparaître le caractère intrusif et agressif de l’activité que l’on impose à ces organes…)28.
On peut donner raison au docteur Miriam Grossman, auteur du livre Unprotected, lorsqu’elle écrit :
Les centres de santé des collèges font un bon travail pour éduquer les étudiants sur toutes sortes de questions de santé. Ces professionnels s’attendent à ce que, une fois l’information pertinente donnée, les étudiants fassent des choix éclairés. Ils leur recommandent: «Mangez une salade au lieu d’une pizza.» Ils présument que les jeunes sont capables de discipline personnelle – ils ne s’attendent à rien de moins de leur part. Il n’y a qu’une seule exception à la règle : leur santé sexuelle29.
Le risque d’infection au VIH : le dernier-né des stimulants sexuels
Parmi les nouvelles problématiques, on trouve le barebacking : des orgies organisées de pénétrations anales entre plusieurs personnes homosexuelles avec comme seule règle à suivre de ne pas porter de condom (le barebacking apparaît comme le jeu de roulette russe nouveau genre dans la communauté gaie). On ignore donc qui est infecté du VIH/SIDA et qui ne l’est pas, et c’est ce mystère qui est supposé décupler le plaisir sexuel ressenti.
Dans une étude portant sur les hommes homosexuels infectés par le VIH, la majorité des participants (84%) ont affirmé avoir participé à des relations de type barebacking au cours des trois derniers mois, et 43% des hommes ont indiqué avoir pratiqué le barebacking avec un partenaire n’étant probablement pas infecté, mettant ainsi la santé d’un autre homme en danger30.
L’analyse de ces données nous révèle que, si plusieurs personnes homosexuelles actives aboutissent à l’urgence de l’hôpital Saint-Luc, c’est à cause des blessures qu’elles se sont infligées à la suite de gestes faits volontairement, des gestes associés à leur tendance sexuelle, et non pas parce que des personnes homophobes s’en sont prises à elles. Ces actes sont physiquement nuisibles non pas parce que leurs auteurs s’y prennent mal, mais parce qu’ils ne tiennent pas compte des fonctions et de l’anatomie humaine normale. Ces actes sont donc associés à des risques élevés de dommages aux tissus, de mauvais fonctionnement organique et de maladies infectieuses, ce qui, ultimement, abrège significativement l’espérance de vie des personnes homosexuelles actives.
Ne pas réduire la personne à son homosexualité
Ces données sont préoccupantes. Elles mettent au jour des difficultés humaines qui, loin d’être la conséquence d’une hypothétique homophobie ambiante, découlent spécifiquement d’une manière d’élaborer son identité sexuelle en refusant de considérer les limites de son corps, donc certains interdits du réel. C’est la face cachée de l’homosexualité, celle que le filtre de la rectitude politique laisse rarement transparaître à la télévision, au cinéma, dans les magazines artistiques et dans les sites Web des organisations faisant la promotion de cette condition. Bien que ces données puissent contribuer à assombrir l’image que l’on se fait des personnes homosexuelles actives, il ne faut surtout pas croire que ces personnes n’apportent rien de bon ou de positif à la société. La personne, sa condition, ses intentions et ses actes sont quatre dimensions qu’il faut constamment distinguer et mettre en perspective.
Complémentarité et imperfection
Mettre en pratique les gestes extrêmes31 associés à la tendance homosexuelle n’est donc en rien comparable au fait d’être gaucher plutôt que droitier, végétarien plutôt que carnivore, de préférer le caramel au chocolat ou d’être francophone plutôt qu’anglophone : des caractéristiques qui, loin de s’opposer, sont plutôt complémentaires. Cette représentation de soi devient associée à :
  • une tendance à la multiplication des partenaires;
  • une difficulté à rester fidèle;
  • un plus haut taux de parasites et d’autres infections intestinales (dans le cas de pratiques qui incluent un contact oral-à-anal);
  • la transmission d’infections vaginales bactériennes chez 24% à 51% des lesbiennes;
  • trois à quatre fois plus de risque de contracter la syphilis;
  • huit à vingt ans d’espérance de vie en moins;
  • dix fois plus de risque de contracter l’hépatite B;
  • 40 fois plus de risque d’être infecté par le VIH;
  • et 50 fois plus de risque de contracter le SIDA.
À cela, on peut encore ajouter la plus récente étude sur le sujet publiée par le département de la santé publique du Massachusetts. Selon cette étude, les personnes ayant des attraits pour le même sexe sont 2,5 fois plus portées à fumer, 3,1 fois plus  portées à se sentir tendues ou inquiètes, les femmes lesbiennes sont 2,2 fois plus enclines à souffrir d’obésité, enfin les personnes bisexuelles sont 4,4 fois (les personnes homosexuelles 1,5 fois) plus enclines à décrire leur santé comme « mauvaise » ou « ordinaire » que les personnes hétérosexuelles.
Il n’y a pas lieu de mettre ces résultats sur le dos de l’homophobie ambiante depuis que des études semblables, menées dans des pays « homophiles » comme les Pays-Bas, la Norvège, le Danemark et la Nouvelle-Zélande, ont récolté des résultats similaires32. Nous reviendrons d’ailleurs sur ce point à la question 14.
Il ne s’agit pas d’une simple opinion, d’un jugement gratuit, d’un commentaire motivé par de l’homophobie, de la biphobie, de la lesbophobie ou de la transphobie, mais bien d’une interprétation rigoureuse des données scientifiques au sujet des conséquences des actes homosexuels.
N.B. Données tirées d’études scientifiques, répertoriées dans l’ouvrage L’homosexualité: les mythes et les faits disponible dans notre section BOUTIQUE
  1. Aux États-Unis, seulement 5,2 % des couples gais élèvent un ou des enfants, alors que cette proportion augmente à 21,7 % chez les couples de lesbiennes, selon les données du National Health and Social Life Survey (NHSLS).  Selon Demography (vol. 37, no 2, mai 2000, p. 139-154), l’étude du NHSLS réunit de loin les informations les plus extensives sur les pratiques sexuelles et les partenaires sexuels aux États-Unis. []
  2. Alan P. Bell et Martin S. Weinberg, Homosexualities : A Study of Diversity among Men and Women, New York, Simon & Schuster, 1978, p. 308-309. []
  3. Alan P. Bell et Martin S. Weinberg, op. cit., p. 82. []
  4. Alan P. Bell et Martin S. Weinberg, op. cit., p. 85. []
  5. Center for Disease Control and Prevention (CDC), HIV/AIDS surveillance report 2002, vol. 14, table 11, p. 16. []
  6. Voir à ce sujet : www.lifesitenews.com/ldn/2009/aug/09082609.html, article basé sur : www.cdc.gov/hiv/topics/surveillance/resources/reports/2007report/default.htm. []
  7. Idem, p. 13 []
  8. D. McWhirter  et A. Mattison, The Male Couple: How Relationship Develops, Englewood Cliffs, NJ, Prentice-Hall, 1984. []
  9. Ibid., p. 308. []
  10. John Diggs, Jr., « The Health Risks Of Gay Sex, » Corporate Resource Council publication, disponible sur le site Internet de NARTH (www.narth.com). []
  11. Certaines cliniques médicales spécialisées dans le traitement des personnes homosexuelles soutiennent qu’il est désormais démontré que celles qui ont de multiples partenaires ont un risque de 10 à 15 fois plus élevé de contracter l’hépatite B que la population en général (voir www.cliniquelactuel.com/home/page/gias_lesbiennes.html). []
  12. R. S. Hogg,  et al., «Modeling the impact of HIV disease on mortality in gay and bisexual men», International Journal of Epidemiology, 1997, vol. 26, p. 657-661. []
  13. Jeffrey Satinover, Reflections: interview with NARTH, 5 février 2001, www.narth.com/docs/satinover.html. []
  14. Jeanne M. Marrazzo, «Sexually transmitted infections in woman who have sex with woman : who cares?», Sexually Transmitted Infections, 2000, vol. 76, p. 330. []
  15. Kathleen Melonakos, Why Isn’t Homosexuality Considered A Disorder On The Basis Of Its Medical Consequences?, disponible sur le site de NARTH (www.narth.com). []
  16. La psychiatre américaine Miriam Grossman abonde dans le même sens. Engagée dans la protection de la santé des jeunes au centre de santé de l’université UCLA, elle relève que, si les écoles et les campagnes gouvernementales enseignent aux jeunes à manger de la salade plutôt que de la pizza, à faire de l’exercice régulièrement, à boucler leur ceinture de sécurité en voiture et à utiliser un écran solaire par temps ensoleillé, tout cela afin de se montrer proactives envers leur santé et d’augmenter leur espérance de vie, elles négligent continuellement de les sensibiliser aux risques que pose objectivement l’activité sexuelle sans contrainte. Lire à ce sujet l’article disponible au article.nationalreview.com/300100/unprotected/warren-throckmorton. []
  17. Lorsqu’on procède à un lavement, on introduit dans le rectum un liquide laxatif (par exemple de l’eau chaude avec un petit savon légèrement laxatif). Concrètement, on enfonce de quelques centimètres un tuyau dans le rectum. Le lavement a pour but de faire descendre les selles du partenaire qui se fera pénétrer, de sorte que, lorsque l’autre partenaire se retirera de son anus, il n’y aura pas simultanément évacuation des selles. Sans lavement, une débâcle de selles se produirait. []
  18. Un abcès anal est une infection de l’anus qui peut être causée par un échauffement ou une petite blessure. Lorsque cet échauffement n’est pas soigné, il devient une infection. []
  19. Une fistule, c’est comme une petite fente sur la paroi de l’anus qui ne guérit pas,  qui ne cicatrise pas. Tout passage de selles ou de liquide biologique cause de la douleur, d’où l’infection. On doit alors avoir recours à des drains ainsi qu’à des antibiotiques intraveineux, des pansements et des mèches. []
  20. Les « dildo » (vibrateurs doubles, faits spécialement pour les hétérosexuels ou les homosexuels, formés de deux pénis collés dos à dos) pénètrent très profondément dans le corps. Des radiographies montrent que ces pénis artificiels se rendent (à travers le vagin) jusqu’au sternum, ou (à travers le rectum) jusqu’au coccyx. []
  21. Il s’agit d’appareils gynécologiques que l’on utilise normalement pour dilater le vagin des femmes sur le point d’accoucher. Par chance, les personnes homosexuelles ont habituellement des anus qui se dilatent plus facilement parce qu’elles ont l’habitude des relations anales. []
  22. C. H. Mercer, et al., «Increasing prevalence of male homosexual partnership and practices in Britain 1990-2000», AIDS, 2004, no18, p. 1453-1458. []
  23. L. Valleroy, et al., «HIV prevalence and associated risks in young men who have sex with men», JAMA, 2000, no 284, p. 198-204. []
  24. Voir le site www.lifesite.net/ldn/2007/mar/07032205.html. []
  25. Isabelle Binggeli, «Sensibilisation au VIH – Campagne provocante pour interpeller les gais et bisexuels», Journal Métro, jeudi 12 février 2009, p. 4. []
  26. Voir www2.canoe.com/archives/infos/dossiers/2004/01/20040123-055657.html. []
  27. Jean-Claude Grenier, Des cours de natation obligatoires, 24 heures, Quebecor Media, 20 juillet 2007, p. 3. []
  28. Les relations anales causent des écorchures dans les parois relativement fragiles du rectum. Les bactéries, comme le E. coli – toujours présentes dans les excréments, ainsi que d’autres bactéries, virus et parasites –, pénètrent dans ces lésions et atteignent les tissus situés plus en profondeur à l’intérieur du corps. Le système immunitaire du sujet s’en trouve malmené, même s’il n’a jamais été exposé comme tel au VIH. La suppression immunitaire vient augmenter le risque qu’il développe certains cancers ou infections opportunes qui, autrement, ne se seraient pas implantés. []
  29. Dr. Anonymous, Unprotected. []
  30. P. N. Halkitis, «Intentional unsafe sex (barebacking) among HIV-positive gay men who seek sexual partners on Internet», AIDS Care, 2003, no 15, p. 367-378. []
  31. Par exemple, les relations sexuelles anales à plusieurs partenaires, le barebacking, la sodomie suivie de la succion du pénis souillé d’excréments, la masturbation réciproque, l’utilisation de vibrateurs, de boules de billard, de poignées de porte, de « dildo », etc. []
  32. M. Weinberg et C. Williams, Male Homosexuals: Their Problems and Adaptations, New York, Oxford University Press, 1974. []
Source : http://tavietonchoix.org/ressources/les-mythes-et-les-faits-sur-lhomosexualite/9-%E2%80%93-ne-dit-on-pas-qu%E2%80%99etre-homosexuel-c%E2%80%99est-comme-etre-gaucher-plutot-que-droitier-dans-son-orientation-sexuelle/

 http://youtu.be/Lmado2rAQHc